Livre Blanc -
26 Pages
La vente étant l’objectif de toute stratégie commerciale, le recrutement des Sales est une priorité. Toutefois, la recherche de profils commerciaux est compliquée pour les entreprises, car le marché de l’emploi dans ce domaine est régulièrement tendu. Et comme les bons commerciaux sont très prisés, la concurrence est forte et le turn-over élevé. Pour évacuer cette débauche d’énergie et ces coûts, externaliser sa force de vente s’avère pertinent.
Passer par un call center pour son département Sales, c’est beaucoup d’atouts et quelques désavantages. Si cette option n’est pas obligatoirement rentable ou même envisageable, voici tout de même les éléments favorables pour vous aider dans votre réflexion.
Le premier avantage de l’externalisation : les économies réalisées. En effet, un commercial salarié coûte cher à l’entreprise, surtout si elle veut le convaincre de le rejoindre ou même de rester.
Le baromètre Uptoo chiffre le salaire moyen d’un commercial en France à 51 000 € brut/an, dont 13 000 € de variable.
Les sites de Glassdor ou Indeed évoquent respectivement un salaire de base moyen pour un Sales Development Representative (SDR) de 32 000 € et 34 600 €.
Les chiffres montrent d’importants écarts de rémunération selon l’ancienneté du commercial et selon le secteur d’activités. Le baromètre Uptoo indique :
Mais ce n’est pas tout ! Vous devez aussi prévoir le coût inhérent à cette fonction (matériel, logiciel, tickets-restaurants, mutuelle, autres frais) qui peut atteindre un quart du salaire. Enfin, l’entreprise doit anticiper le coût de gestion des équipes commerciales, à savoir l’allocation du temps de gestion, des ressources et de l’argent. Des montants cachés pouvant au final aligner six chiffres !
Avant d’être pleinement productif, un commercial doit recevoir une formation adaptée et parfaire sa connaissance du produit et de l’offre de l’entreprise. Et lorsque sa productivité arrive à pleine puissance, le commercial a tendance à quitter l’entreprise pour aller chercher un meilleur salaire ailleurs.
L’externalisation de la force de vente permet d’éviter ces frictions en matière de coûts salariaux, de temps de recrutement et de formation. L’entreprise n’a plus à se soucier d’un éventuel départ de ses meilleurs éléments pour la concurrence.
Le choix d’un partenariat à l’extérieur permet de disposer d’une équipe d’experts en quelques jours qui s’occupera immédiatement de la prospection ou encore de la vente.
Toutefois, la collaboration doit être parfaitement fluide entre le call center et l’entreprise. Externaliser son service commercial ne signifie pas ne plus du tout s’en occuper. Il est primordial que vous leur transmettiez tout votre savoir avant le démarrage et que vous pilotiez l’activité par la suite.
Voici en quoi les centres de contacts sont meilleurs que vous dans le recrutement de commerciaux :
Les entreprises doivent mesurer les enjeux avant d’externaliser leur plan d’action commercial. Tout ne se résume pas aux économies. Ainsi, la culture de l’entreprise peut être diluée avec ses équipes externalisées, si les valeurs ne sont pas correctement transmises au prestataire.
Le fonctionnement des process est aussi mis à l’épreuve et nécessite une fine analyse et un suivi au quotidien de différents indicateurs de performance du call center pour identifier les éventuels dysfonctionnements. La mauvaise qualité de la relation avec le prospect peut en effet nuire à l’image de l’entreprise, avec des répercussions négatives à moyen terme.
Autre écueil possible : une trop forte dépendance de l’entreprise avec son prestataire. Les commerciaux non-salariés ne doivent pas disposer du monopole de la connaissance de la relation client. Ils apprennent pourtant à maîtriser les leviers pour développer un portefeuille et fidéliser la clientèle.
En cas de désaccord ou de rupture dans le contrat avec le centre d’appels, l’entreprise s’expose à une déperdition d’informations majeure (perte de confidentialité). Il est donc essentiel de mettre en place des process pour faire remonter les informations et les données récoltées par les agents, pour se constituer en interne une ressource propre à l’entreprise, indépendamment du prestataire.
Et malgré le contrat qui lie les deux parties, l’entreprise n’aura jamais la garantie que l’image auprès de ses clients soit préservée. Sans compter le risque ultime que le prestataire exploite les données pour se muer en concurrent direct de la société donneur d’ordre.
Voici les principales étapes à suivre :
1. Définir le plan d’actions commerciales (cibles, script de vente, arguments marketing, plan de montée en compétences, KPI’s,...)
2. Rédiger un cahier des charges :
3. Choisir le prestataire (coût financier, expérience, fiabilité, expertise, culture d’entreprise, etc.)
4. Déployer les outils d’environnement technique (set-up)
5. Identifier la personne qui sera en charge de piloter l’activité externalisée
Passer par un call center pour son département Sales, c’est beaucoup d’atouts et quelques désavantages. Si cette option n’est pas obligatoirement rentable ou même envisageable, voici tout de même les éléments favorables pour vous aider dans votre réflexion.
Le premier avantage de l’externalisation : les économies réalisées. En effet, un commercial salarié coûte cher à l’entreprise, surtout si elle veut le convaincre de le rejoindre ou même de rester.
Le baromètre Uptoo chiffre le salaire moyen d’un commercial en France à 51 000 € brut/an, dont 13 000 € de variable.
Les sites de Glassdor ou Indeed évoquent respectivement un salaire de base moyen pour un Sales Development Representative (SDR) de 32 000 € et 34 600 €.
Les chiffres montrent d’importants écarts de rémunération selon l’ancienneté du commercial et selon le secteur d’activités. Le baromètre Uptoo indique :
Mais ce n’est pas tout ! Vous devez aussi prévoir le coût inhérent à cette fonction (matériel, logiciel, tickets-restaurants, mutuelle, autres frais) qui peut atteindre un quart du salaire. Enfin, l’entreprise doit anticiper le coût de gestion des équipes commerciales, à savoir l’allocation du temps de gestion, des ressources et de l’argent. Des montants cachés pouvant au final aligner six chiffres !
Avant d’être pleinement productif, un commercial doit recevoir une formation adaptée et parfaire sa connaissance du produit et de l’offre de l’entreprise. Et lorsque sa productivité arrive à pleine puissance, le commercial a tendance à quitter l’entreprise pour aller chercher un meilleur salaire ailleurs.
L’externalisation de la force de vente permet d’éviter ces frictions en matière de coûts salariaux, de temps de recrutement et de formation. L’entreprise n’a plus à se soucier d’un éventuel départ de ses meilleurs éléments pour la concurrence.
Le choix d’un partenariat à l’extérieur permet de disposer d’une équipe d’experts en quelques jours qui s’occupera immédiatement de la prospection ou encore de la vente.
Toutefois, la collaboration doit être parfaitement fluide entre le call center et l’entreprise. Externaliser son service commercial ne signifie pas ne plus du tout s’en occuper. Il est primordial que vous leur transmettiez tout votre savoir avant le démarrage et que vous pilotiez l’activité par la suite.
Voici en quoi les centres de contacts sont meilleurs que vous dans le recrutement de commerciaux :
Les entreprises doivent mesurer les enjeux avant d’externaliser leur plan d’action commercial. Tout ne se résume pas aux économies. Ainsi, la culture de l’entreprise peut être diluée avec ses équipes externalisées, si les valeurs ne sont pas correctement transmises au prestataire.
Le fonctionnement des process est aussi mis à l’épreuve et nécessite une fine analyse et un suivi au quotidien de différents indicateurs de performance du call center pour identifier les éventuels dysfonctionnements. La mauvaise qualité de la relation avec le prospect peut en effet nuire à l’image de l’entreprise, avec des répercussions négatives à moyen terme.
Autre écueil possible : une trop forte dépendance de l’entreprise avec son prestataire. Les commerciaux non-salariés ne doivent pas disposer du monopole de la connaissance de la relation client. Ils apprennent pourtant à maîtriser les leviers pour développer un portefeuille et fidéliser la clientèle.
En cas de désaccord ou de rupture dans le contrat avec le centre d’appels, l’entreprise s’expose à une déperdition d’informations majeure (perte de confidentialité). Il est donc essentiel de mettre en place des process pour faire remonter les informations et les données récoltées par les agents, pour se constituer en interne une ressource propre à l’entreprise, indépendamment du prestataire.
Et malgré le contrat qui lie les deux parties, l’entreprise n’aura jamais la garantie que l’image auprès de ses clients soit préservée. Sans compter le risque ultime que le prestataire exploite les données pour se muer en concurrent direct de la société donneur d’ordre.
Voici les principales étapes à suivre :
1. Définir le plan d’actions commerciales (cibles, script de vente, arguments marketing, plan de montée en compétences, KPI’s,...)
2. Rédiger un cahier des charges :
3. Choisir le prestataire (coût financier, expérience, fiabilité, expertise, culture d’entreprise, etc.)
4. Déployer les outils d’environnement technique (set-up)
5. Identifier la personne qui sera en charge de piloter l’activité externalisée
Call of Success accompagne les entreprises dans toutes les étapes de votre projet d’externalisation.
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