Le choix du mode de facturation est un critère important dans le calcul du coût d’un prestataire. Dans le cadre d’une externalisation d’une activité en call center, cette décision a surtout un impact direct sur la productivité et la qualité du service.
Au temps, à l’acte ou au forfait, retour sur les définitions des modèles de facturation à votre disposition.
Le coût de l’externalisation d’un centre de contacts dépend entre autres de la nature des prestations de l’opérateur. Certaines entreprises ne confient qu’une partie de leur centre de services clients. D’autres se dégagent du temps en déléguant leur force de vente.
Le choix du prestataire et sa localisation entrent aussi dans l’équation. Les tarifs offshore, inshore ou nearshore ne sont pas les mêmes. Tout est une question d’investissement, de rapport qualité/prix et de modes de facturation.
Plusieurs options existent pour le donneur d'ordres afin de facturer la prestation au call center.
Facturer au temps revient à payer le centre d’appels en :
Fruit de négociations avec le prestataire externe, la facturation au temps rassure le donneur d’ordres, puisqu’un jour travaillé pour un agent équivaut à un jour facturé. Elle est appréciée par le prestataire externe qui obtient une visibilité financière dans le temps. Toutefois, l’entreprise peut pâtir d’une décorrélation entre ce modèle de facturation au temps et la productivité de la plateforme opérationnelle.
Facturer à l’acte permet à l’entreprise de ne payer que le service sous-traité. Ce modèle de facturation fonctionne lors de démarrage rapide. Le service est rapidement opérationnel, puisque le call center mise sur sa productivité pour accroître sa rémunération. En revanche, ce procédé peut entraîner des dysfonctionnements, et place le call center en situation d’insécurité.
La facturation à l’acte d’un centre d’appels peut couvrir :
Facturer au forfait revient à payer un bouquet de services en une fois. Ce modèle de facturation est plus confidentiel malgré l’aspect rassurant pour le donneur d’ordres. On parle aussi de mode de facturation au parc client.
Le contrat comprend aussi un engagement de résultats, tant en objectifs qualitatifs que quantitatifs. Ce type de fonctionnement impose une pression au prestataire dans la planification et la coordination de ses agents. Eux-mêmes peuvent ressentir cette pression pouvant déteindre négativement sur la qualité du service.
Un forfait peut comprendre une ou plusieurs des activités suivantes :
Facturer à l’abonnement permet à l’entreprise de pouvoir accéder à certains outils en continu et sans surcoût. Généralement associé à la facturation à l’acte, l’abonnement a l’avantage d’afficher une belle visibilité financière pour les deux parties.
Le centre d’appel construit une relation de confiance durable avec l’entreprise. Cette dernière peut d’ailleurs inscrire les frais d’abonnement dans la colonne des coûts d’exploitation du client (OPEX), plutôt que dans celles des investissements (CAPEX).
Le bonus-malus est un mécanisme d’incitation à atteindre et dépasser des objectifs. Par ce modèle de facturation complémentaire, le donneur d’ordres motive le call center à augmenter sa productivité. L’entreprise en récolte les fruits par de meilleurs résultats financiers, tandis que le centre d’appels peut espérer une meilleure rémunération.
Le bonus/malus peut se greffer sur diverses tâches externalisées :
Vous souhaitez mettre en place l’externalisation de tout ou une partie de votre centre de contact client. Vous hésitez toutefois, car vous avez du mal à chiffrer le coût d’un call center externalisé. Les experts Call of Success recommandent la facturation à l’heure dans un premier temps afin que les deux parties puissent se connaître. Au bout de trois à six mois, le modèle de facturation à l’acte, assorti d’un système de bonus-malus, est pertinent pour gagner en productivité.
Le coût de l’externalisation d’un centre de contacts dépend entre autres de la nature des prestations de l’opérateur. Certaines entreprises ne confient qu’une partie de leur centre de services clients. D’autres se dégagent du temps en déléguant leur force de vente.
Le choix du prestataire et sa localisation entrent aussi dans l’équation. Les tarifs offshore, inshore ou nearshore ne sont pas les mêmes. Tout est une question d’investissement, de rapport qualité/prix et de modes de facturation.
Plusieurs options existent pour le donneur d'ordres afin de facturer la prestation au call center.
Facturer au temps revient à payer le centre d’appels en :
Fruit de négociations avec le prestataire externe, la facturation au temps rassure le donneur d’ordres, puisqu’un jour travaillé pour un agent équivaut à un jour facturé. Elle est appréciée par le prestataire externe qui obtient une visibilité financière dans le temps. Toutefois, l’entreprise peut pâtir d’une décorrélation entre ce modèle de facturation au temps et la productivité de la plateforme opérationnelle.
Facturer à l’acte permet à l’entreprise de ne payer que le service sous-traité. Ce modèle de facturation fonctionne lors de démarrage rapide. Le service est rapidement opérationnel, puisque le call center mise sur sa productivité pour accroître sa rémunération. En revanche, ce procédé peut entraîner des dysfonctionnements, et place le call center en situation d’insécurité.
La facturation à l’acte d’un centre d’appels peut couvrir :
Facturer au forfait revient à payer un bouquet de services en une fois. Ce modèle de facturation est plus confidentiel malgré l’aspect rassurant pour le donneur d’ordres. On parle aussi de mode de facturation au parc client.
Le contrat comprend aussi un engagement de résultats, tant en objectifs qualitatifs que quantitatifs. Ce type de fonctionnement impose une pression au prestataire dans la planification et la coordination de ses agents. Eux-mêmes peuvent ressentir cette pression pouvant déteindre négativement sur la qualité du service.
Un forfait peut comprendre une ou plusieurs des activités suivantes :
Facturer à l’abonnement permet à l’entreprise de pouvoir accéder à certains outils en continu et sans surcoût. Généralement associé à la facturation à l’acte, l’abonnement a l’avantage d’afficher une belle visibilité financière pour les deux parties.
Le centre d’appel construit une relation de confiance durable avec l’entreprise. Cette dernière peut d’ailleurs inscrire les frais d’abonnement dans la colonne des coûts d’exploitation du client (OPEX), plutôt que dans celles des investissements (CAPEX).
Le bonus-malus est un mécanisme d’incitation à atteindre et dépasser des objectifs. Par ce modèle de facturation complémentaire, le donneur d’ordres motive le call center à augmenter sa productivité. L’entreprise en récolte les fruits par de meilleurs résultats financiers, tandis que le centre d’appels peut espérer une meilleure rémunération.
Le bonus/malus peut se greffer sur diverses tâches externalisées :
Vous souhaitez mettre en place l’externalisation de tout ou une partie de votre centre de contact client. Vous hésitez toutefois, car vous avez du mal à chiffrer le coût d’un call center externalisé. Les experts Call of Success recommandent la facturation à l’heure dans un premier temps afin que les deux parties puissent se connaître. Au bout de trois à six mois, le modèle de facturation à l’acte, assorti d’un système de bonus-malus, est pertinent pour gagner en productivité.
Call of Success accompagne les entreprises dans toutes les étapes de votre projet d’externalisation.
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