Le Service Level Agreement, ou SLA, détermine le niveau de qualité attendu par une entreprise auprès de son prestataire. Mis en forme dans un contrat, le SLA cadre non seulement les prestations souhaitées, mais également leurs mesures et les conséquences liées pour le centre d’appels. Cet accord entre les parties est capital et doit être parfaitement compris et appliqué. Car l’impact du SLA sur la qualité du service client ou commercial est direct. Cet accord qui est rédigé lors de l’externalisation de son call center peut s’avérer complexe à concevoir. Quels indicateurs choisir ? Comment les fixer ? Comment suivre le SLA ? Avec en toile de fond la question : est-ce que le niveau de service du prestataire sera au rendez-vous ? Rassurez-vous, les instances de pilotage et les indicateurs de performance existent. Et parmi eux, le SLA.
Le service level agreement (ou accord de niveau de service) est un accord noué entre un donneur d’ordre et son prestataire. Le contrat détermine le niveau de service attendu. En interne, l’alignement entre les forces de vente et le département marketing donne lieu aussi à un document du même ordre. On parle de SLA marketing. D’ordre général ou spécifique, l’accord inclut des aspects particuliers des normes de service aussi bien dans le domaine de la qualité, de la disponibilité et des responsabilités.
À l’origine, le service level agreement concernait surtout les prestataires informatiques et leurs clients. Par exemple, les éditeurs de logiciels formalisaient un niveau de service et une garantie de performance à respecter à l’entreprise cliente. La question principale se focalisait notamment sur les taux de disponibilité des serveurs.
Dans le cadre des centres d’appels, l’entreprise cliente et les intervenants du call center définissent ensemble un cadre et des indicateurs pour évaluer la qualité des prestations.
Ces KPIs sont établis en fonction du domaine d’activité, du type de service, et des exigences de qualité opérationnelle souhaitées. Leur mode de calcul et leur évaluation font partie de ce SLA.
Le centre d’appels et le client vont concevoir ensemble le contenu du contrat du dispositif qualité. De la description détaillée des missions, jusqu’à leur mode d’évaluation et les actions à suivre, le SLA se doit d’être le plus exhaustif et détaillé possible.
Il peut inclure plusieurs sujets :
Il faut penser que tous ces éléments ont pour vocation à être appliqués au quotidien. Mieux vaut donc éviter de créer une trop grande complexité, et s’en tenir aux éléments fondamentaux de la qualité attendue.
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Dans un projet d’externalisation de son centre d’appels, la mesure du service est essentielle pour voir si la trajectoire prévue permet d’atteindre ses objectifs. Plusieurs indicateurs de productivité existent comme la durée moyenne de conversation, le taux d’occupation des agents, le taux d’abandon ou la vitesse moyenne de réponse.
Le SLA intervient en tant que référence contractuelle pour fixer le niveau de service attendu délivré par le call center. Souvent, le KPI s’exprime sous la forme d’un pourcentage d’appels émis ou décrochés sur une période donnée.
En cas de litige, cette référence fait office de juge de paix.
Une tolérance existe cependant pour définir d’une zone neutre autour d’une moyenne qui évite de pénaliser le partenaire si le seuil est à peine en-dessous du niveau exigé.
Le contrat de confiance incite au dialogue et au respect des engagements, quitte à le modifier au cours de la mission si les conditions changent ou que l’une des parties est en désaccord.
Le pilotage du SLA permet de surveiller le niveau de service en temps réel. C’est un baromètre actif des performances actuelles du centre d’appels externalisé. Si le niveau de service fluctue, alors l’entreprise doit le savoir immédiatement afin de résoudre le problème.
Le SLA peut prévoir la mesure de trois grandes catégories de thèmes :
Attention, le niveau de service peut être influencé par une série de problèmes :
Instrument de planification, le suivi du SLA implique la participation des agents et de la direction afin d’ajuster les objectifs communs.
Le SLA, même s’il évolue au cours de la collaboration, constitue un élément fondamental de bonnes relations entre le client et son centre d’appels externalisé.
C’est ensemble qu’ils formalisent les contours de leur SLA, et qu’ils se mettent en phase pour identifier, résoudre et prévenir les problèmes de gestion du service. Toutes les actions sont détaillées, organisées et planifiées. Si un ou plusieurs des points deviennent bloquants, la relation risque de se détériorer et de se répercuter directement sur la satisfaction client.
Alors, pour éviter les erreurs lors de la rédaction du contrat, il faut adopter quelques bonnes pratiques, expérimentées au sein des PME et grands groupes qui ont externalisé :
Nous l’avons vu, le SLA fixe les règles entre un call center et une entreprise. Ce document formalise les engagements à respecter, agissant comme un fil rouge sur lequel se tenir pour conforter la collaboration et régler les éventuels litiges.
Le service level agreement (ou accord de niveau de service) est un accord noué entre un donneur d’ordre et son prestataire. Le contrat détermine le niveau de service attendu. En interne, l’alignement entre les forces de vente et le département marketing donne lieu aussi à un document du même ordre. On parle de SLA marketing. D’ordre général ou spécifique, l’accord inclut des aspects particuliers des normes de service aussi bien dans le domaine de la qualité, de la disponibilité et des responsabilités.
À l’origine, le service level agreement concernait surtout les prestataires informatiques et leurs clients. Par exemple, les éditeurs de logiciels formalisaient un niveau de service et une garantie de performance à respecter à l’entreprise cliente. La question principale se focalisait notamment sur les taux de disponibilité des serveurs.
Dans le cadre des centres d’appels, l’entreprise cliente et les intervenants du call center définissent ensemble un cadre et des indicateurs pour évaluer la qualité des prestations.
Ces KPIs sont établis en fonction du domaine d’activité, du type de service, et des exigences de qualité opérationnelle souhaitées. Leur mode de calcul et leur évaluation font partie de ce SLA.
Le centre d’appels et le client vont concevoir ensemble le contenu du contrat du dispositif qualité. De la description détaillée des missions, jusqu’à leur mode d’évaluation et les actions à suivre, le SLA se doit d’être le plus exhaustif et détaillé possible.
Il peut inclure plusieurs sujets :
Il faut penser que tous ces éléments ont pour vocation à être appliqués au quotidien. Mieux vaut donc éviter de créer une trop grande complexité, et s’en tenir aux éléments fondamentaux de la qualité attendue.
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Dans un projet d’externalisation de son centre d’appels, la mesure du service est essentielle pour voir si la trajectoire prévue permet d’atteindre ses objectifs. Plusieurs indicateurs de productivité existent comme la durée moyenne de conversation, le taux d’occupation des agents, le taux d’abandon ou la vitesse moyenne de réponse.
Le SLA intervient en tant que référence contractuelle pour fixer le niveau de service attendu délivré par le call center. Souvent, le KPI s’exprime sous la forme d’un pourcentage d’appels émis ou décrochés sur une période donnée.
En cas de litige, cette référence fait office de juge de paix.
Une tolérance existe cependant pour définir d’une zone neutre autour d’une moyenne qui évite de pénaliser le partenaire si le seuil est à peine en-dessous du niveau exigé.
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Le SLA peut prévoir la mesure de trois grandes catégories de thèmes :
Attention, le niveau de service peut être influencé par une série de problèmes :
Instrument de planification, le suivi du SLA implique la participation des agents et de la direction afin d’ajuster les objectifs communs.
Le SLA, même s’il évolue au cours de la collaboration, constitue un élément fondamental de bonnes relations entre le client et son centre d’appels externalisé.
C’est ensemble qu’ils formalisent les contours de leur SLA, et qu’ils se mettent en phase pour identifier, résoudre et prévenir les problèmes de gestion du service. Toutes les actions sont détaillées, organisées et planifiées. Si un ou plusieurs des points deviennent bloquants, la relation risque de se détériorer et de se répercuter directement sur la satisfaction client.
Alors, pour éviter les erreurs lors de la rédaction du contrat, il faut adopter quelques bonnes pratiques, expérimentées au sein des PME et grands groupes qui ont externalisé :
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Call of Success accompagne les entreprises dans toutes les étapes de votre projet d’externalisation.
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